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La Jpop c’est has been, c’est Google qui le dit

14 décembre 2009 16 Commentaires

Mise en ligne il y a quelques temps déjà, l’application Google Trends sert comme son nom l’indique à mesurer les tendances du moment, par le biais de statistiques mondiales sur l’évolution du volume de requêtes se rapportant à un mot-clé donné. Depuis plusieurs jours, un graphe assez éloquent portant sur le terme « jpop » circule sur les forums et réseaux sociaux « spécialisés ». Partant de là, amusons nous un peu avec d’autres requêtes portant sur nos popstars préférées, ou encore, brrrrrrrrr, le Visual-Kei (oui je sais c’est moche)…

Que tous ceux qui traitent d’oiseaux de mauvais augure les vieux cons qui comme moi clament que la Jpop c’était mieux avant, que le marché est morne et que la communauté des fans perd chaque jour un peu de ses couleurs, me fassent le plaisir de se pencher une seconde sur le graphique suivant, décrivant l’évolution du nombre de requêtes relatives à la musique japonaise.

Le graphe en lui-même se passe de commentaires, rien de bien nouveau là dedans, mais les éléments indiqués sur la page originale de statistiques apportent plusieurs compléments d’information. Le terme « jpop » est plus recherché à Singapour, HK et en Malaisie qu’au Japon lui-même (là où par contre le Japon est leader, dans une moindre mesure, sur la syntaxe « j-pop »). Assez logique en fait : les japonais auront plus tendance à rechercher des infos sur un artiste particulier que sur leur scène musicale d’une manière générale. Pour ceux qui croient pouvoir dire que « la jpop a aujourd’hui en France un succès probant et constitue un réel marché », un petit constat s’impose : aucun pays européen ne figure dans le top10 des requêtes, l’Asie du Sud-Est squattant très majoritairement les stats avec une incursion notable du Pérou et du Chili. Pour l’anecdote, les régions françaises les plus jpopophiles sont dans l’ordre la Normandie, ma chère Lorraine, le Centre, et l’Alsace, l’île de France n’arrivant qu’en 9ème position. Des régions le plus souvent oubliées par les tourneurs qui trimballent les artistes japonais dans l’Hexagone, aussi s’ils pouvaient prendre note, ça nous ferait bien plaisir.

Voyons maintenant ce qu’il en est pour quelques unes de nos popstars préférées. Ayumi Hamasaki confirme sur Google sa lente mais inexorable perte de vitesse, et il est intéressant de constater que le volume de requêtes réalisées sur la transcription romaji de son nom (toujours en Asie essentiellement) égale à peu de choses près celui portant sur les requêtes en caractères japonais. Plus stable, Kumi Koda s’en sort déjà mieux, avec là aussi une équi-répartition entre le Japon et l’Outre-Mer, même si la popularité nippone de l’artiste a logiquement connu un pic coïncidant avec la sortie de son premier best-of. Egalement très stable sur les 5 dernières années, la courbe de Hikaru Utada, avec par contre une prédominance assez nette des requêtes en provenance de l’étranger. A l’inverse, la popularité de Namie Amuro connaît un regain de croissance bien plus marqué dans l’archipel que sur le continent, où l’artiste suscite un engouement quasi-constant; là aussi, un pic à signaler pour la sortie de BEST FICTION. L’artiste féminine la plus en forme s’appelle YUI, avec une santé qui se maintient globalement assez bien depuis 3 ans.

Singapour et les Philippines sont en tout cas définitivement les plus curieux en matière de musique japonaise, même si certains phénomènes restent bien nippo-nippons. Ainsi on constatera que Google témoigne parfaitement de l’explosion du phénomène Arashi au Japon, alors que le groupe suscite un intérêt nettement plus modéré à l’étranger. Quant à ceux qui douteraient de la pertinence de ces statistiques à décrire une tendance, qu’ils jettent un oeil à ce que donne la requête sur le terme « H1N1″, un exemple assez implacable de phénomène explosif.

Reste un sombre constat : si l’intérêt porté à la « jpop » décline, il est par contre un courant « musical » nippon qui se porte bien : le Visual-kei. Et oui, jugez par vous-même :

A ceci près que pour le coup, il s’agit définitivement d’un phénomène de mode tout sauf nippon : les Japonais n’en ont clairement rien à faire, là encore rien de nouveau, mais on ne se prive jamais d’une occasion de rire au nez des grands gourous de la secte des fans de faux bisho beugleurs à la tronche enfarinée. Les requêtes sur la graphie japonaise du terme « Visual Kei » représentent à peine le 1/10è des requêtes sur la syntaxe romaji, et le Japon ne figure même pas dans le top10 des statistiques. C’est le Chili qui rafle de loin la palme de la plus grosse faute de goût du plus fervent supporter du genre. Et pour une fois la France est là elle aussi, en 6ème position. Amis marseillais, sachez que Plus Belle La Vie nest plus votre seul fardeau : il vous faudra désormais vivre aussi avec le statut de 5ème ville la plus fan de Visual-Kei au monde. Dur !

Allez fini de jouer pour aujourd’hui, mais n’hésitez pas à partager, vous aussi, vos différentes tendances made in Google sur le destin de vos stars préférées !

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16 Commentaires »

  • Tanja a dit :

    Je ne suis pas tout à fait d’accord avec toi cette dernière affirmation comme quoi au Japon on s’en fout du visual kei.

    Tout d’abord le visual kei vit au Japon, c’est pas les 100 CD vendu ici et les 5 concerts à l’année qui feraient vivre qui que ce soit, pas plus les orga français (tous morts petit à petit) que les japonais (ça fait de l’argent de poche)… Or pour sortir des CD et faire des tournées faut déjà avoir du pognon et ça c’est au Japon que ça se fait et pas ici.

    Les magasins de CD, de fringues, les revues, les salles de concerts qui ne fonctionnent presque qu’avec ça, c’est au Japon qu’elles vivent et c’est pas avec les touristes étrangers qui les font tourner :p Y a un public et il est largement plus importants qu’en Europe et au USA réunis !!

    Souvent on me dit : je vois pas de visu au Japon, ça marche pas ce style. Mais c’est parce qu’ils ne cherchent pas aux bons endroits, c’est un peu comme si on me disait y a pas de mouvement goth en France, alors que je peux te sortir une liste longue comme le bras de boutiques, bars, concerts etc. (idem au Japon pour le visu) Sauf que si t’es fan de Christophe Maé ou Ayumi je comprendrais que tu n’en sache rien… C’est pas aussi voyant qu’une fnac ou une tower records…
    Ce sont des mouvements loin des lumières des écrans géants de Shibuya… et même si effectivement le visu à eu son heure de gloire aux heures de grandes écoutes au Japon, c’est révolu je suis d’accord.

    Ensuite, que veux tu qu’ils aillent chercher sur internet le mot « visual kei » ? Ils ont des magazines, fanzines, des sites spécialisés, les émissions de radio, etc. On retrouve très souvent le visual kei et/ou ses groupes en références dans des manga (preuve que ce n’est pas si inconnu que ça) Ce n’est pas comme nous où sans le net nous n’avons rien (ou juste un peu plus qu’avant).
    Quand on voit le terme dans un magazine musical le terme est tout de suite compris, il n’est pas expliqué preuve qu’il est un petit peu connu et qu’il ne nécessite pas de recherche.

    Le visual kei c’est comme Jpop ou Jmusic je vois pas trop pourquoi les japonais pourraient bien vouloir le chercher sur internet :/ ? Ils recherchent des noms de groupes ou d’artistes comme pour la Jpop…

    • balsa a dit :

      google, um…

      je me contenterai de peu en constatant (avec joie) que la Reine Hikki est toujours dans le coup ! :)

      • Shito (author) a dit :

        Ma remarque sur le VK était une remarque d’ordre comparatif. Quand je dis que les japonais s’en foutent du Visu, c’est comparativement au reste. Oui il y a des japonais qui aiment le Visu, mais s’ils savent se montrer assez bruyants pour donner l’illusion qu’il se passe encore quelque chose, tous les chiffres démontrent que c’est de la poudre aux yeux.

        Je suis d’accord avec toi sur tout ce que tu dis concernant les boutiques, les magazines, etc. Effectivement, le VK existe, je ne le nie pas (oserai-je dire que c’est d’ailleurs bien là le problème ? ;) ). Et ces media/commerces/etc relatifs au VK existent avec lui tout comme il en existe en rapport avec la Jpop.

        Je suis d’accord avec toi aussi quand tu dis que les japonais n’ont pas plus d’intérêt à chercher le terme Visual Kei sur le web que le terme jpop, et qu’ils privilégient logiquement les noms d’artistes.

        Ce que je dis par contre, c’est que les japonais n’ont sur le papier pas moins d’intérêt non plus à chercher « VK » que « jpop », si l’on suit notre raisonnement commun. Ce qui légitime la comparaison entre les statistiques des deux thématiques.

        Et cette comparaison est éloquente. Les stats démontrent que la proportion de recherches japonaises par rapport au volume de recherches mondial sur la thématique VK est nettement inférieure à la proportion de recherches japonaises sur la thématique jpop. En moyenne, une recherche sur la jpop a donc beaucoup plus de chances de venir du Japon qu’une recherche sur le VK. C’est un fait, qui démontre que l’intérêt pour le VK est aujourd’hui majoritairement d’origine extra-nippone. Mieux encore : si tu regardes les stats localisées au seul Japon concernant le visu, la courbe montre une décroissance lente mais continue depuis le début des mesures en 2007, là où la courbe relative à la Jpop remonte depuis plus d’un an après avoir connu un léger creux.

        Encore une fois, je ne dis pas que le VK n’existe pas, je ne fais que répéter qu’il s’agit aujourd’hui, au Japon, d’un courant marginal, au même titre que le courant goth que tu cites existe mais de façon marginale en France. Si quelqu’un tentait de faire croire que les français sont globalement férus de musique à influence gothique, on crierait au raccourci complètement à côté de la plaque. Ben de même, moi je lutte contre ces fans qui tentent de faire croire que le Vk est autre chose au Japon qu’un phénomène marginal.

        Le fait est que le VK sait se faire remarquer, pour des raisons artistiques, pour une question de dévotion des fans aussi, et que son existence est donc effectivement bien plus facile à constater que celle des goûts musicaux de masse. Mais la popularité d’un phénomène et son importance commerciale relative ne sont pas mesurables sur le seul critère de visibilité. Sinon Cindy Sander pourrait être déclarée artiste française la plus populaire de l’année 2008 !

        Je ne réinvente pas la poudre de toute façon : il y a longtemps que les chiffres de ventes ne laissent plus franchement de place aux groupes VK, à un ou deux contre-exemples près. Pourtant la dévotion de la communauté des fans de VK pouvait laisser espérer des dégâts plus limités sur cette cible que sur le marché global en ce contexte de crise. Non, la réalité c’est que le marché d’une manière générale se tarit, et que le VK en est plus que jamais une composante marginale, en proportion.

        Reste que je ne peux nier qu’on assiste à un retour des groupes VK en major récemment, mais pour ma part je penche clairement pour une stratégie d’exploitation internationale. Je pense que tu sous-estimes les bénéfices que peuvent se faire ces groupes à l’export, ou plutôt l’importance de ces bénéfices par rapport à leurs revenus sur le marché nippon. Et quand bien même je me tromperais, si l’exportation n’est pas directement rentable, alors la seule explication au fait que ces groupes n’ont pas encore disparu c’est qu’ils espèrent relancer la mode VK au Japon en s’appuyant sur une pseudo-reconnaissance internationale en construction…

        • Tanja a dit :

          Je pense surtout qu’au Japon aucune mode ne meurt et que le visu, qu’on aime ou pas (je n’aime pas les derniers groupes comme tu le sais) ne mourra pas parce qu’il y a cycliquement un public pour lui. Comme y a toujours public pour les boy’s band (alors que chez nous ça n’a eu qu’un temps), un public pour les girl’s band, pour l’enka, la Jpop, le Jrap etc.
          J’ai remarqué que rien ne meurt vraiment au Japon. C’est plus ou moins sur le devant de la scène, mais ça reste en vie.

          Oui y a pas mal de groupes qui passent major en ce moment, je ne sais pas s’ils iront loin… Les passages major ça m’a toujours un peu crispé parce que c’est une certaine négation musicale quand même… Mais en ce moment vu ce qui est passé major, ils risquent rien c’était déjà pourri avant XD

          Si au début presque tous les concerts hors Japon étaient répercutés dans les pages des magazines japonais, maintenant ça devient rare, c’est devenu relativement banal (et ça irrite nos petites fans japonaises).
          Beaucoup d’artistes japonais sont venus parce qu’on les invitait. C’est rarement venu d’une réelle planification de carrière à l’étranger à part sans doute des groupes sans public au Japon qui se retrouvaient avec des salles pleines en Europe. Mais à moins de poser leurs fesses en Europe, les ventes de goodies, CD ou places de concerts ne peuvent rentabiliser une carrière en dehors du Japon. Un artiste rock français en a déjà bien du mal……..

          Mais bon moi je sais où en est le visual kei au Japon, donc c’est vrai que ça me fait toujours bondir d’entendre que c’est en perte de vitesse au Japon, alors que l’heure de gloire c’était entre 97 et 2001 environ. Donc pour moi c’est vieuuuux.
          Mais je comprends que ça te hérisse le poil d’entendre que le visu est THE style de zic au Japon lol Moi-même ça me fait toujours rire.

          • chtite_asu a dit :

            Hum, moi je trouve ça assez juste même s’il ne s’agit que de mots-clés.
            Surtout quand on regarde les premières courbes.
            Quand on les compare aux ventes dans le classement de l’Oricon on constate aussi que ça a bien baissé.
            On est loin des millions de singles et d’albums vendus il y a quelques années.

            Et puis dire que le visual-kei est un style représentatif c’est une utopie. J’apprécie quelques rares groupes mais ce serait mentir que de dire le contraire. C’est une minorité et ça ne changera malgré pas de si tôt.
            Par contre c’est un fait qu’on en parle bien plus que les autres genre en France (malheureusement) même s’ils vendent pratiquement rien. Johnny’s et idols mis à part bien sûr.
            Malgré la baisse des ventes quand on compare les classements des 2 dernières semaines on voit que Dir en grey a peiné à vendre 26000 côté. D’un autre côté, BUMP OF CHICKEN qui était à la même place la semaine d’avant en avait écoulé plus de 6 fois plus.
            Il y a une différence qu’on ne peut pas nier quand même (surtout que BUMP n’est pas le groupe qui fait des records de vente habituellement).

            Sinon la fin m’a bien fait rire, ils ont vraiment plus rien pour eux ces marseillais dernièrement xD

            • Yukki a dit :

              Article très original et dont les chiffres sont, il faut le dire, très parlants !

              Petit bémol cependant: Le Japon est l’un des seuls pays où Google n’est pas leader des moteurs de recherches (c’est Yahoo Japan). Mais surtout, le Japon fait partie des rares pays où l’internet mobile supplante largement l’internet classique.
              Les japonais ont peu tendance à rechercher de l’info sur le net comme nous. Ils achètent, écoutent, lisent sur leur mobile.
              Du coup, si on pouvait accéder aux chiffres de portails tels que i-mode ou ezweb, je pense que les résultats seraient différents et surement plus représentatifs

              Mais comme son nom l’indique, Google Trends révèle des tendances, qui sont a mon avis justes bien que moins représentatives sur le Japon.
              Son mérite reste en tout cas de révéler ce qui est populaire chez les étrangers intéressés par la culture japonaise.

              Une fois de plus, le mystère du marché nippon ne sera pas clairement percé en regardant à travers des binocles occidentales, n’en déplaise a « Google »

              • Van a dit :

                Ça n’a rien à voir mais si l’on reste dans le petit milieu français de la j-music on constate, rien qu’avec jpopdb, une importante diminution de news et article mensuel. Beaucoup de site ferme (les gros) et la plupart des fansites sont agonisants ou totalement inactif. On se rappel d’une époque ou il y avait 10 gros site sur Ayumi, il en reste 2-3 actifs. Cela dit c’est l’artiste qui s’en tire le mieux !
                Donc la jmusic n’intéresse plus ?
                Probablement, après un gros boom et une surabondance les gens se sont lassés. C’est probablement dut au marché pas franchement folichon…
                Reste à savoir si la tendance va s’inverser… Je pense que ce n’est pas pour tout de suite, enfin il restera toujours des vieilles ménopausées chiantes pour me contenter !
                Donc ou bien les gens se réveil et passe à autre chose qu’Ayumi, ou bien un artiste japonais se met a cartonné en Europe (peut probable) ce qui ramènera de nouveaux fans (qui ferons pas la joie des anciens qui clameront, on était la avant etc…)
                Bref l’avenir s’annonce pessimiste.

                • Nels a dit :

                  Bof en fait j’ai été faire la mEme recherche concernant différent style de musique POP,ROCK,Hip-HOP et tous sont victime du Meme déclin…

                  Spécialement le Hip-hop tout aussi flagrant

                  • JT a dit :

                    La Jpop est morte en même temps qu’Ayumi…!

                    • yumenokatachi a dit :

                      Héhé, le graphique de The Gazette est marrant à voir.

                      • Sven a dit :

                        Il est interessant de noter que kpop rattrape et dépasse actuellement le terme jpop:

                        • FERIC JAGGAR a dit :

                          Je vais jeter un oeil a « Noriko Sakai » pour le mois d’aout, tiens !

                          • pavel a dit :

                            La Lorraine fait partis des région les plus concerné? qui l’eut crut? ^^
                            En tout cas, perso. les résultats de google hein… est ce vraiment représentatif? bref…

                            j’aime bien taper aussi dans la musique hors japon, le groupe Thaï « flure » m’a plus que conquis, en ce qui concerne des artistes Coréen, j’ai pas encore trouvé…

                            • Kervala a dit :

                              Ah ah, je suis donc pas le seul à avoir commencé à me désintéresser de la JPop vers 2004 :p

                              Non mais y en a marre de ces artistes qui sortent juste un album puis plus rien, ou alors d’autres qui sortent de la bonne jpop bien dansante puis changent de registre pour des ballades bien chiantes :s

                              Enfin bon, je suis bien content qu’en occident, on ait des artistes qui ont la pêche comme la jpop avant 2004 (quand je compare la jpop avec des artistes pop comme t.A.T.u., Hilary Duff, Superbus, Lady Gaga, etc… je trouve pas qu’on y perde au change) :)

                              • balsa a dit :

                                oui, l’occident c’est la classe: Avril Lavigne, Hilary Duff, Britney Spears et l’anthologie post-mortel de Jackson … rien que du bon et/ou rien que du neuf… enfin, on peut pas demander aux décadents d’avoir conscience de leur décadence, autant convaincre un mec bourré qu’il est fin saoûl…

                                • Madison a dit :

                                  En 2012 il est prévu qu’environ la moitié des smartphones seront sous Android, très loin devant Symbian et Windows phone 7. Google prévois d’autre part de revoir la monétisation de youtube et notamment de mettre en ligne quelques chaines payantes offrants des services similaires aux chaines classiques : sport, séries, cinéma etc. Je m’inquiête un peu de l’énorme progression de ce qui n’étais à l’origine qu’un moteur de recherche. Un monopole n’est jamais bon surtout quand il s’agit d’organiser l’information mondiale. Google développe ses tentacules partout, dans tous les domaines. Bientôt l’entreprise imposera sa loi aux états.

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