Un billet d’ordre plus pratique qu’autre chose, pour signaler que j’irai a priori voir UTADA à Londres le 12 février prochain, et que puisqu’on a trois mois devant nous je suis ouvert à toute proposition de fan meeting et autre co-voiturage organisé, réservations d’auberges de jeunesse conjointes, etc… Faire offre !
Merci à mon ancien acolyte Colorful pour m’avoir fait partager cette sortie fort réjouissant, la vidéo n’étant disponible que depuis hier. il s’agit donc du dernier single en date de SAWA, produit par Taku Takahashi (m-flo), qui signe décidément de très bonnes réalisations dernièrement après, entre autres, le très réussi Reincarnation d’Ami Suzuki.
De nombreux fans de culture pop japonaise se sont lancés, en marge de leur passion, dans la tâche ambitieuse et ardue qu’est l’apprentissage de la langue nippone. Ils ont pu découvrir toute la richesse d’une langue dont la difficulté croît paradoxalement en même temps que le nombre de mots employés dans ses phrases diminue, le sens étant alors à l’entière merci du contexte. A cela s’ajoutent toutefois les innombrables nuances de politesse et l’hypocrisie qui va avec. Que les novices se rassurent toutefois, l’interprétation d’un discours officiel n’est pas si …
C’est la bonne nouvelle du jour : l’artiste la plus enthousiasmante de ces 12 derniers mois retrouve le producteur de ses meilleurs morceaux récents pour un nouveau single de collaboration qui viendra, espérons-le, faire oublier la platitude de son dernier opus !
Quand on voit les guéguerres opposant les maisons de disques sur le marché musical français et international, on imagine qu’il en va de même partout (sauf bien sûr quand il s’agit de soutenir Hadopi, la caution dont elles ont besoin pour ne pas avoir à admettre les vrais problèmes qui sont à la source de leurs difficultés financières). Pourtant le Japon vient de nous donner un nouveau contre-exemple flagrant. A ce niveau là ce n’est même plus du pacifisme, c’est de la complicité de crime en bande organisée. Avec en figure de proue Aya Kamiki.
J’ai un rapport assez étrange avec ce groupe, dont j’avais beaucoup aimé le premier single, mais que j’ai très vite classé dans la catégorie des formations qui font toujours la même chose et n’ont donc aucun intérêt à être suivies, comme d’ailleurs la majeure partie de ces groupes dont la carrière est bâtie sur les génériques d’anime que leur maison de disques réussit à leur dégoter. Pourtant UVERworld dure, ce qui est loin d’être le cas de tout le monde. Mieux, le groupe progresse même…
En d’autres temps j’avais posté une news sur mimu annoncant la création du groupe RUSHMORE chez avex, un quatuor composé de Mitsuru Igarashi (ex-ELT), Mitsuru Nishimura au chant, ainsi que les guitaristes Nozomu Wakai et Mitsuhisa Sakamoto.
Après une série de quatres singles digitaux répartis sur quatre mois, RUSHMORE sortira le 23 décembre son premier album, intitulé REASON OF FOUR SEASONS. Comme promis, les 13 titres du CD mêleront inspiration provenant du répertoire guitar hero avec les synthés emblématiques de toutes les productions Igarashi. Les premiers extraits disponibles laissent toutefois craindre que loin de modernier le rendu, les synthés en question ne fassent que le ridiculiser…
Une petite devinette ça vous tente ? Promis ce ne sera pas bien dur. Un indice : la réponse est dans le titre du billet. Vous voyez, je vous ménage ! Allons y donc : une seule des 5 affirmations suivantes est vraie, saurez-vous deviner laquelle ?
Après le Printemps de Bourges il y a quelques mois dont la programmation avait très agréablement surpris, c’est au tour de la Mairie de Paris de s’intéresser à la culture pop japonaise. Là où la chose est intéressante, c’est que cette initiative semble réalisée en totale indépendance des habituels « professionnels du milieu » français. Un regard neuf, une organisation différente, une approche moins communautariste et plus analytique : y a de l’espoir ! Ah petite précision qui a son importance : c’est cette semaine que ça se passe !
Sorti fin octobre dernier, le nouvel album de Chihiro Onitsuka n’a pas franchement brillé au top Oricon, où son honnête 10ème place cache la misère avec à peine plus de 14.000 exemplaires écoulés, soit moitié moins que la première semaine de LAS VEGAS, son opus précédent qui avait déjà réalisé des scores décevants. Pourtant bien plus que son prédécesseur, DOROTHY est l’album du renouveau pour une artiste qui a plus fait parler d’elle ces dernières années pour ses problèmes de santé et sa détresse psychologique que pour ses performances artistiques.
On commence avec une news qui n’en est pas vraiment une, mais comme elle me fait plaisir je ne vais pas me priver : le 23 décembre prochain sortira en effet un complete best d’Every Little Thing, disponible en 3 éditions : une version 4CDs + 2DVDs comportant 50 titres et 38 clips, la version 4CDs sans les vidéos, et une version 2CDs regroupant une sélection de 30 titres choisis par les fans.
Quelques mois après la fermeture de mimu et après une bonne dose de repos salvateur, j’ouvre aujourd’hui ce blog Jpop.
Un espace d’expression personnel, qui me permettra de continuer à faire partager ma passion pour la scène musicale japonaise dans un cadre moins contraignant et générant moins d’attentes et de responsabilités que le gros site éditorial qu’était mimu.