Japan Expo 2012 : bilan et photos
L’édition 2012 de Japan Expo a été marquée par une météo extrêmement capricieuse qui, à l’instar des habituels soucis du RER B, n’a pas manqué de pourrir la vie d’une bonne partie des visiteurs du salon. Lesquels n’ont toutefois pas lâché l’affaire pour autant : après une édition 2011 en demi-teinte où les bons résultats de Comic-Con avaient masqué un recul de la fréquentation de JE, les allées noires de monde dès le jeudi ne donnent pas matière à s’inquiéter pour le bilan humain et financier du festival. Comme mentionné il y a quelques semaines, le programme musical s’annonçait un peu plus réduit que les années précédentes, mais plus qualitatif aussi, du moins sur le papier. Verdict à froid ? Pas de surprises : les espoirs se sont montrés dignes des attentes placées en eux, et pour le reste on savait à quoi s’attendre… Revue de détail, par ordre chronologique, dans la suite de ce billet !
Momoiro Clover
Commençons par le commencement : premier showcase pour l’ouverture de la scène principale : celui de Momoiro Clover. Passons sur l’interdiction des photos infligée à la presse par un staff nippon inquiet de voir les petites culottes des idols s’afficher partout sur internet, pour nous intéresser au live proprement dit. Le spectacle n’était pas tant sur scène (un show d’idols -mal- millimétré, plus ou moins douloureux pour les oreilles selon l’identité de celle qui braille dans son micro) que dans la salle. Une partie du fanclub japonais du groupe a en effet fait le déplacement et investi les premiers rangs. Affublés d’écharpes, serviettes et autres tshirts siglés, ces spectateurs pas comme les autres détonnent : parmi eux, une bonne part de colosses à grosse voix et autres clônes aux yeux bridés de Noah Puckermann (Glee, pour ceux qui ne connaissent pas) ! Tous scandent le prénom de leurs idols et exécutent des chorégraphies répétées mille fois avec leurs sticks lumineux; pire : ils font partie intégrante de la séquence d’intro lors de laquelle ils accompagnent l’arrivée des artistes sur scène en hurlant leur présentation comme un seul homme. Vu de l’intérieur, ce grand moment de fan support à la japonaise est très impressionnant; reste qu’il s’agissait là du seul intérêt à mes yeux de ce showcase qui semble toutefois avoir ravi les amateurs…
MAN WITH A MISSION
C’était l’un des concerts les plus attendus du festival par la blogosphère francophone, et il n’a pas déçu : MAN WITH A MISSION a littéralement enflammé un Live House qui, pour l’essentiel, ne savait sans doute pas à quoi s’attendre et a littéralement explosé dès le premier morceau. Là encore, petite mésaventure à déplorer avec une membre du staff nippon du groupe qui a tout simplement fait évacuer la fosse de journalistes, mais qu’importe : la plupart d’entre nous avons mis de côté les « obligations » pour profiter pleinement du spectacle détonnant offert par le groupe. On aurait pu craindre que sous leurs masques à têtes de loups, les artistes allaient avoir du mal à créer une connexion avec le public, et pourtant c’est tout l’inverse qui s’est produit. Un charisme incroyable, des instruments qui sonnent bien, des compos encore plus efficaces en live que sur CD, un chant et des raps incisifs et habités, et une énergie folle : tous les ingrédients étaient réunis pour passer un moment exceptionnel. Mention spéciale à l’enchaînement entre l’excellente reprise de Smells like teen spirit (Nirvana) et FLY AGAIN, climax du weekend à n’en pas douter ! Le seul reproche ? C’est une évidence : moins de 45mn de concert, c’est terriblement trop court, terriblement frustrant. Et c’est à se demander ce qui peut motiver un groupe comme celui-ci à traverser le globe pour jouer trois petits quarts d’heure dans un pays où ses disques ne sont pas dans les rayons des magasins… Quoi qu’il en soit, on ne peut évidemment espérer qu’une seule chose : que MAN WITH A MISSION revienne dans l’Hexagone, investir cette fois une vraie salle pour un concert full length digne de ce nom !
Daizy Stripper
Je ne m’attarderai pas, tout le monde sait que le Visual Kei n’est définitivement pas ma tasse de thé. Pour autant, je ressens après coup une certaine indulgence à l’égard de ce groupe, à la faveur sans doute de la comparaison avec Anli Pollicino, qui a sévi plus tard lors du weekend. Une prestation sans réel intérêt ni fausse note, des tenues relativement sobres pour le genre en dépit d’attitudes évidemment ridicules, bref, il n’y a clairement pas grand chose à raconter sur ce live à ranger au rayon anecdotique. Pour du visu, c’est déjà pas si mal.
Kohei Tanaka et Iwao Junko
Le bon vieux moment Papy fait de la résistance du weekend, qui fait paradoxalement plaisir par sa… fraîcheur, oui oui. Kohei Tanaka, compositeur et arrangeur de moult génériques d’anime à succès, investit sobrement la scène derrière un tout bête piano électronique, accompagné d’une batterie et d’une contrebasse. Et le voilà qui s’égosille bravement, ici sur un thème de ONE PIECE, là sur un thème de Dragon Ball, le sourire aux lèvres. Ca n’a rien d’un grand show, mais la simplicité du moment fait briller des étoiles dans les yeux des spectateurs (certes assez peu nombreux) qui reprennent avec lui ces refrains très connus. Arrive ensuite Iwao Junko, seiyuu vieillissante plutôt bien conservée, rayonnante bien qu’un chouilla maniérée, dans une jolie robe grandiloquente. A son tour, l’artiste se lance dans un boeuf de génériques, parmi lesquels celui d’Evangelion, ou encore d’Escaflowne, à la grande joie d’un public nostalgique de cet âge d’or de l’animation japonaise. La prestation est étonnamment très bonne, le chant juste, la voix posée, ce qui n’est pas sans contraste avec les accents nasillards et la hauteur suraiguë qu’emprunte Iwao lors de ses speechs, rappelant sur ce point de mémorables interviews de Rina Aiuchi. Bref, un showcase sans prétention, répété deux fois sur le weekend, qui a très bien fait le boulot et avait définitivement toute sa place dans le programme de cette Japan Expo.
FLOW
Invité d’honneur musical du festival, FLOW a investi le JE Live House au soir du vendredi pour le seul grand concert du weekend, payant celui-là. Assumant pleinement son affiliation à l’industrie de l’animation pour lequel il a signé bon nombre de génériques à succès, le groupe a manifestement quelques fans en France qui connaissaient une majorité des chansons de la setlist par coeur. Les tarifs relativement élevés ont toutefois sans doute rafraîchi les vélléités de bon nombre de visiteurs, car la salle était loin d’afficher l’affluence de ses plus belles heures, ni même celle du live des Morning Musume organisé dans les mêmes conditions par le passé. N’étant ni grand fan ni réfractaire aux travaux de FLOW, c’est avec l’esprit tout à fait ouvert que je me suis présenté à ce concert… Mais je dois avouer que la prestation du groupe m’a laissé complètement froid. Premier choc à l’arrivée des artistes sur scène : plus que leur tenue (des chemises à motif de zébrures éclatées noir et blanc, tout sauf photogéniques), c’est leur âge accusé qui choque. FLOW m’a fait l’impression de voir débouler Bernard Minet et le reste des Musclés dans un grand moment de revival 90s, où les rides et la peau qui tombe étaient dissimulées de façon aussi ridicule qu’inefficace par un maquillage ô combien excessif. L’attitude était tout aussi ridicule, et l’on n’eût point été surpris d’entendre le chanteur scander de vieilles rengaines nostalgiques comme « Ca vous a plu ? (ouaaaaaaaais) Alors on continue ! (ouaaaaaais !) » . Seul le rappeur du groupe sauve un peu la face sur le terrain de la crédibilité, mais planqué derrière ses lunettes il peine à établir une connection avec la foule. Musicalement, force est de constater que rien ne ressemble plus à un générique d’anime à la sauce FLOW qu’un générique d’anime à la sauce FLOW. Si bien que très vite on a la sensation d’entendre encore et toujours la même chose, avec en prime des balances catastrophiques et (comme d’habitude à Japan Expo me direz-vous) un volume sonore beaucoup trop élevé qui achève de mouliner la bouillie pop-rock servie par le groupe. La démonstration des limites artistiques de FLOW est flagrante sur la reprise de READY STEADY GO de L’Arc~en~Ciel, où ni le chant, ni le jeu des musiciens ne sont à la hauteur de ce monument bien plus technique qu’il n’y paraît. Bref, lassé par ce live sans relief, je ne peux qu’avouer avoir quitté la salle avant la fin.
Hemenway
C’était l’autre rendez-vous attendu par les connaisseurs : le jeune groupe pop-rock Hemenway, qui débute à peine sa carrière au Japon, bénéficiait sur cette Japan Expo d’une double exposition avec un premier showcase, suivi le lendemain d’un second avec la participation exceptionnelle du mangaka Naoki Urasawa. J’ai malheureusement raté ce dernier, mais la prestation d’Hemenway pour son premier live a été on ne peut plus conforme à mes attentes, confirmant qu’il s’agit là d’un groupe extrêmement prometteur. Sans aucun doute, le quatuor a livré le live le plus musical du week-end, au sens où la richesse des arrangements et la qualité technique des artistes se sont avérées bluffantes. Bien plus en fait que la portée des compositions ou le charisme des refrains. C’est tout de même singulier pour un groupe qui revendique lui aussi sa connexion intime avec le monde de l’animation japonaise ! On sent d’ailleurs que cette identité nippone est pour Hemenway un cheval de bataille : tandis que son chanteur et son guitariste sont coréens, et que les quatre membres du groupe se sont rencontrés en école de musique aux USA et parlent donc très bien anglais, la quasi-intégralité des speechs se sont faits en japonais. La bio officielle du groupe elle-même se résume d’ailleurs à un grand plaidoyer en légitimité. Mais groupe japonais ou non, qu’importe : entre sa présence scénique très classieuse (mention spéciale au guitariste dont la tignasse folle, les lunettes embuées et le jeu acrobatique contraste de façon spectaculaire avec le flegme très posé du chanteur) et le talent indéniable de chacun de ses membres, Hemenway a définitivement remporté tous les suffrages !
Anli Pollicino
J’ai longuement hésité à consacrer un billet entier à ce groupe de poulets décérébrés à peu près aussi talentueux et compétents en tant que musiciens que moi en tant que pilote de rallye (à un détail près : face à mon inaptitude innée évidente, j’ai au moins eu la décence de ne même pas chercher à obtenir mon permis de conduire, là où cette bande de guignols défie toute forme de respect pour l’art et le genre humain en osant commercialiser des CDs et des places de concert). Que les choses soient claires : mon opinion sur la prestation d’Anli Pollicino transcende de très loin toute forme d’aversion que je peux avoir pour le Visual Kei. Non, objectivement, ce live était à Japan Expo ce qu’une vulgaire côte de porc pas cuite sauce moutarde/piment oiseau/nutella/roquefort serait à la carte d’une bonne brasserie : un tord-boyaux à vous liquéfier les entrailles. Pas un seul des « musiciens » n’était dans les clous, le seul rythme effréné à signaler étant celui auquel se sont enchaînés les pains, avec pour apogée ce fameux moment où le pauvre batteur a laissé échapper ses baguettes… Mais le pire est à mettre au crédit du « chanteur », qui remporte haut la main la palme des beuglements asthmatiques les plus archi-faux de toute l’histoire de Japan Expo. Je n’ai honnêtement pas souvenir d’avoir entendu une seule note qui m’ait paru agréable de sa part. La foule nombreuse a donné au staff du groupe l’occasion de se vanter… tout en omettant soigneusement le fait que la plupart des spectateurs était là pour assurer sa place pour le concert de Kyary Pamyu Pamyu qui suivait. Mais les visages grimaçants dès le 2ème rang des spectateurs, et la désertion rapide de la fosse des journalistes absolument horrifiés en disent très, très long sur la qualité apocalyptique de ce concert. A quand la création d’une brigade de protection des populations, chargée notamment de veiller à ce que de pareilles menaces sur la santé de la jeunesse française ne puissent continuer de sévir en toute impunité ?
Kyary Pamyu Pamyu
Invitée d’honneur… « mode » du festival, Kyary a largement éclipsé FLOW sur le plan de la popularité et de l’impatience générée par sa présence. Il faut dire que le buzz né sur le web autour de la jeune fille avec le clip de son tube PONPONPON a largement dépassé les frontières de l’archipel, et même celle de la sphère japanisante : plus de 30 millions de visionnages Youtube, ça attire forcément la curiosité, et d’ailleurs le showcase de Kyary est de très loin celui qui a le plus rempli la fosse de journalistes dans laquelle il était littéralement impossible de faire un pas. Vraisemblablement ce succès a pris tout le monde de court, et l’artiste et son staff en ont été les premiers surpris, si bien que Kyary passe depuis son temps à s’excuser de n’avoir proposé que 5 chansons (un peu plus avec le rappel) aux milliers de personnes qui se sont déplacées pour elle. Sans doute aussi que s’ils avaient su, ils auraient mis un peu plus de moyens dans la mise en scène. Le grand barnum kawaii-burlesque de Kyary n’a clairement pas le même impact sans même le moindre bout de décor coloré pour créer une ambiance. Un peu petite pour cette grande scène toute vide, la star a toutefois pu compter sur ses danseuses, deux minuscules piles électriques aussi boudinées dans leur costume qu’impressionnantes dans leur exécution énergique des chorégraphies accompagnant ses chansons. Kyary paraissait du coup un peu apathique en comparaison, même si la faiblesse de sa voix était globalement bien compensée par la bande playback par dessus laquelle elle chantait. Reste qu’à la faveur de titres super efficaces et d’un public conquis d’avance, ce showcase s’est avéré plutôt plaisant; un brin moins déjanté et entêtant qu’attendu sans doute, moins efficace (ou abrutissant, c’est au choix) sans doute aussi, mais tout de même quelle ambiance ! Chapeau en tout cas à Saé et son équipe pour ce coup d’éclat qui a constitué sans doute possible le climax de la programmation musicale du weekend.
Quelques remarques d’ordre général en guise de conclusion
Bilan plutôt positif donc pour ce qui est du programme musical de cette 13ème Japan Expo. Et pourtant, j’ai dit à plusieurs reprises, et je continue de penser que sauf invité absolument exceptionnel ou motivation très particulière, cette édition 2012 fut ma dernière JE. Sans doute est-ce dû à mon grand âge, toujours est-il que j’ai eu la sensation cette année que les points positifs à mettre au bilan de ma visite ne compensaient plus leur coût. Un coût financier tout d’abord, entre le voyage en train, les allers-retours en RER, et le tarif absolument scandaleux des consommations sur place (sans même parler de celui des produits en vente, il y a longtemps que j’ai compris qu’il ne fallait pas acheter quoi que ce soit à Japan Expo). Un coût en énergie surtout : d’un côté l’attente sur les quais du RER B et les innombrables problèmes techniques qui rallongent encore le voyage dans des wagons aux températures infernales, de l’autre les distances gigantesques à parcourir à pieds entre les différents halls au milieu d’une foule compacte qui trépigne comme moi de ne pouvoir avancer, tout cela est tout bonnement épuisant. Et j’ai bien conscience qu’en dépit d’une certaine régression cette année dans la qualité de l’accueil de la presse, avec mon badge qui me sert de coupe file pour accéder aux concerts et m’économise le prix exorbitant de l’entrée je ne suis pas le plus à plaindre : toutes mes pensées accompagnent les visiteurs lambda, parqués comme du bétail dans des files qu’une organisation toujours plus réfléchie ne parviendra malheureusement sans doute jamais à rendre supportables.
Bien sûr, je suis toujours très content de croiser à JE quelques têtes connues : un clin d’oeil cette année notamment à toute la bande de Plumes (Matthieu d’Ongaku Dojo, Angela et son acolyte de Play of Medley, Tanja de DoKo, Ramza de Paoru.fr, et tous les autres), sans oublier Van que j’ai eu la surprise de croiser à Book Off (les grands esprits…) avant de le retrouver, perdu comme un fan des Girondins de Bordeaux dans une tribune du PSG, lors de divers concerts sur JE. Mais au final ce plaisir serait sans doute bien mieux mis à profit autour d’un verre ou d’un bon repas dans des conditions plus paisibles… Plus que jamais, parcourir Japan Expo donne l’impression d’affronter les allées d’un gigantesque hypermarché au premier jour de soldes où chacun se battrait pour avoir le droit d’acheter des choses à deux fois leur prix théorique. Au fil des années, l’ambiance se refroidit inéluctablement, tandis que les stands amateurs se réduisent comme peau de chagrin, les fanzines disparaissent au profit de boutiques toujours plus nombreuses où les arnaques (un guignol qui commercialise des posters d’illustrations volées sur deviant art par ci, les inévitables CDs pirates chinois et coréens par là…) côtoient les aberrations (des illustrations sur plexi vendues plusieurs centaines d’euros…), le tout trié sur le volet pour maximiser le chiffre d’affaires lié au prix des stands plutôt que pour satisfaire le public dans sa grande diversité. Un public qui revient de toute façon, tant le rendez-vous est devenu incontournable. Il faut dire que la qualité des happenings proposés n’y est pas pour rien, mais là dessus aussi il y a à redire : les évènements s’enchaînent industriellement dans un planning qui oblige à faire des choix cornéliens entre des showcases souvent trop courts et frustrants, ou des conférences avec bien peu de fond. Même du point de vue de la presse, la démultiplication des accréditations raréfie et raccourcit les créneaux d’interviews qui ne permettent plus d’espérer tirer quelque propos vaguement intéressant des invités japonais. Raison pour laquelle j’ai tout simplement abandonné toute velléité cette année.
De plus en plus nombreux sont ceux qui s’interrogent, à l’approche du premier week-end de juillet, sur comment ils vont « survivre à Japan Expo ». En ce qui me concerne c’est donc simple : je n’irai probablement plus, et je souhaite bon courage à la relève, qui semble de toute façon bien assurée ! En attendant, ci-dessous ma petite galerie photos persos de cette Japan Expo.
Anli Pollicino… Ce groupe de gros malades… J’espère qu’ils auront eu du monde pour leur tournée européenne… Ou pas…
Moi j’ai de loin préféré celle des années precedente
Je me suis dit que j’allais lire cet article plus tard mais je me suis permis de lire un extrait tout de suite en choisissant la partie sur Anli Pollicino vu que c’est l’un des moments de cette japan expo que j’ai préféré.
Tout ce que je peux dire c’est que le visual kei semble ne vraiment pas être fait pour toi, et que le groupe ne mérite pas que tu t’acharnes autant sur eux , la prestation était loin d’être mauvaise. Enfin, je crois que je vais me limiter à cet extrait dont la lecture me brûle les yeux tellement il est mauvais x_x
Bon je n’ai pas non plus manquer la note positive de la conclusion de cet article dont on n’aurai pu bien se passer.
Tu me fais presque regretter de ne pas avoir pris un RTT pour aller voir MAN WITH A MISSION le jeudi :/
Je pense que tu devrais juger ce que tu connais. Essayer de donner ton avis sur des artistes qui font partis de la scène Visual Kei, alors que tu ne t’y connais pas et que tu n’aimes pas ça, est sans intérêt.
En plus, les mots que tu emplois ne sont que des hyperboles visées à énerver le peu de fans qui s’attarderont à lire tes misérables lignes.
Je viens à l’instant de finir de lire votre article. Je suis très étonnée et même choquée par vos commentaires peu respectueux envers le groupe Anli Pollicino. Je comprends tout à fait le fait que vous n’appréciez pas leur travail et que leur prestation ne vous ai pas plu. Après tout, ces jeunes gens ne font que débuter leur carrière et ceci est un point important à prendre en considération. Ils ont certainement besoin d’un peu de temps pour s’améliorer, acquérir de meilleures techniques. Je ne connais aucuns groupes ayant débuter fantastiquement, maîtrisant à la perfection leurs instruments car la seule façon de devenir bon c’est tout justement de démarrer au bas de l’échelle et de ce prendre une bonne claque et persévérer.
Mais en fin de compte ce n’est pas votre point de vu un peu sectaire qui m’a scandalisé mais plutôt la manière dont vous les nommez. Je tiens juste a vous signaler que ce groupe est composé d’êtres humains… détail qui semble t’il, vous a échappé. Vous n’êtes pas plus disposé qu’un autre a les affubler de mots tel que ‘poulet décérébrés ‘ ou ‘bande de guignols’. Je ne parle pas en tant que grande supportrice du groupe, mais de tels propos me paraissent injustes et déplacés. On a le droit de désapprouver un travail mais pas de rabaisser des Hommes de cette façon.
Je vous souhaite une bonne continuation.
arf les fans d’Anli Pollicino sont vraiment des grosses merdes… Mais des êtres humains… bouh lol… enfin plus ou moins.
si les fans d’Anli sont de grosse merde toi tu n’es qu’une infini partie de cette merde on comprend pourquoi le monde s’effondre à avec des gens comme toi
Fière d’être une fan d’Anli et de Daizy
Cricri
En lisant ton contre-rendu, tu m’as rassuré dans mon choix d’abandonner la JE. Le seul showcase que je regrette d’avoir manqué est MAN WITH A MISSION. La JE est devenu beaucoup trop commerciale et les prix d’entrées ne cessent d’augmenter pour des shows de moins en moins satisfaisant. Je ne peux pas critiquer pour cette année, mais je ne me déplacerais plus que pour des artistes coup de coeur et encore, parce que payer 18€ pour un showcase de moins de 45min ça fait cher quand même…
De plus ça manque encore une fois de choix. A part les idols féminines, le visu et le rock… pas beaucoup d’autres genres présentés. Du coup, il ne me reste que le J-rock d’intéressant. Dommage, le Hip Hop, électro, r’n'b et autres manquent cruellement à la scène JE plus basée pour des groupies (homme ou femme). Et la musique traditionnelle dans tout ça? Ou l’enka genre musical typiquement japonais… évidemment ça n’attirerait pas foule et donc pas assez rentable.
Ton article est tout bonnement horrifique pour les groupes que tu as critiqué, si tu n’aimes pas le Visual je ne vois même pas pourquoi tu t’es donné la peine d’aller voir DaizyStripper et Anli Pollicino et de les rabaisser comme tu l’as fais parce que derriere tout ça ils ont quand même un tas de fans que ce soit au Japon, en France ou encore en Amérique. La prochaine fois abstiens toi d’aller les voir ou au moins essaye de ne pas les rabaisser comme tu l’as fais.
Cordialement, une fane de Daizy et Anli qui t’emme**e profondement !
franchement insulter des artistes comme tu le fais c minable!! ke tu n aimes pas kelkun je concois on peut pas aimer tout le monde! man with a mission par exemple franchement ils me laissent completement indifférente! ms c pa pr autant ke j v dire ke c de la merde! tous restent des artistent ki se donnent du mal!! donc effectivement si tu n aimes pas tu n as ka d abstenir!
et toi VAN tu traites les fans d anli de grosses merde!! bravo !!belle facon de penser!! mais toi t’es koi? tu te penses superieur , seulement en ecrivant des trucs comme ca tu te rabaisses tout seul!Tu parles d etre humain??? tu ne dois meme pas savoir ce ke ca veut dire
lolo UNE FAN DE DAIZY ET D ANLI!! ET FIERE DE L ETRE!!
Bien dit !
Tout à fait d’accord cet abruti ne merite même pas que l on s’attarde sur son pseudo article c’est lui même qui ne doit pas avoir de cerveau comme cela rien à décérébrer et puis j’aimerai bien avoir un voix asthmatique comme Shindy!
Définitivement les webzines ont ce désavantage de faire proliférer une race de crétins prétentieux imbu d’eux même et évidement diminué, ne pouvant avoir l’illusion d’en avoir qu’en crachant leurs venin acerbe bien à l’abri de son PC.
Le premier devoir d’un journaliste bien que ce terme soit à des années lumières de ce que tu es,est l’objectivité le devoir d’un reporter est justement de rapporter. Quand celui du critique est d’émettre un jugement de valeur en s’appuyant sur des connaissances concrète donc dans le cas qui nous intéresse la musique.
Ainsi dans la mesure ou tu ne saurai pas différencier un Do d’un Sol majeur et une portée en clef de fa d’une portée en clef d’UT. Tes commentaires ne valent pas plus qu’un pet dans l’air et encore là je reste polie.
Que sais tu de la justesse? ou de la pose de voix? pourquoi dans ce cas ton commentaire n’est-il pas plus explicite à ce sujet,pour que le néophyte puisse faire semblant de croire ta diatribe pontifiante.
Bien ce sont des crétins et le chanteur d’Anli est un beugleur asthmatiques!! Dans ce cas c’est sans le moindre remords et en toute objectivité que je déclare que tu n’est qu’un imbécile patenté incapable de raisonner. Evidemment vu que tu n’es pas journaliste de métier tu ne prends pas le temps de te documenter ainsi tu ignore que les artistes restent des êtres humains et ainsi que l’organisme humain est soumis à la fatigue de même qu’il ne t’ai pas venu à l’esprit que si faiblesse vocale il y a eu ça peut aussi être du au fait qu’ils étaient en pleine tournée et que la veille ils ont parcouru un certain nombre de kilomètres… hum…non évidement ça implique d’avoir un cerveau ce dont tu es totalement dépourvu.
Que tu n’aime pas le visual c’est une chose, mais ne serait-ce que d’un point de vu professionnel ce n’est pas notre problème. Tes états d’âmes non rien à faire dans un supposé live report. Si tu voulais être crédible tout en orientant les gens dans ton sens il aurait fallu dans ce cas, que tu accordes plus d’attention aux réactions du public, car rien ne vaut la voix du public, bah oui c’est le principe de base du divertissement. Tu était supposé être là pour un travail et non pour entrée gratuit en se pavanant enorgueillit par un pass press.
Les gens se plaignent du prix de J.E s’ils commençaient par arrêter de distribuer des pass press a tout le monde et n’importe qui ça réduirait les coûts. Au lieu de cracher sur J.E pour les ronds cracher sur ce genre d’ »individus » médiocre et parasite bon qu’à répéter bêtement ce que d’autres disent intelligemment.
SHINA tu es parfaite com d hab!!
Puisque contrairement à la plupart de tes congénères tu écris en français, je vais prendre le temps de te répondre.
Je n’ai pas besoin de cracher quoi que ce soit pour avoir l’illusion d’en avoir, je le fais pour le plaisir de dire ce que je pense, ce depuis 15 ans maintenant, et je n’ai pas l’intention de m’arrêter. Tout comme je dis aussi tout le bien que je pense de ce que j’aime. Paraît qu’un blog sert à ça !
Je ne suis pas journaliste. Je suis fan de musique japonaise depuis 15 ans, je pense pouvoir dire connaisseur du sujet, en tout cas assez pour que des milliers de personnes trouvent intéressant de me lire depuis mes premiers pas sur le net en 1998, et je ne prétends à rien d’autre. Je n’aspire pas une seconde a statut de journaliste, et comme je me tue à le répéter, tant la notion de critique que la notion de blog impliquent une subjectivité que je revendique. Si tu veux pas qu’on dise du mal des artistes que t’aimes, va t’installer au Japon, où la critique n’existe pas, et où les « journalistes » sont capables de vendre la pire des merdes comme étant révolutionnaire et pleine de talent, juste parce que le label a bien fait comprendre que c’était ça ou un boycott de tous les supports publicitaires avec un manque à gagner de plusieurs centaines de millions de yens par an.
Manque de bol pour toi, j’ai assez de musiciens dans mon entourage pour savoir de quoi je parle. Mais je vois pas l’intérêt de faire un cours, j’en ai pas la légitimité de tte façon. J’ai constaté, comme la totalité de la presse en fosse et une bonne partie du public que j’ai vue de mes yeux horrifiée, que le chanteur chantait archi-faux, et que les musiciens étaient à côté de la plaque. L’énormité du méfait m’a incité à adopter un ton peu reluisant j’en conviens, mais j’assume pleinement, j’estime même avoir été gentil.
Dommage t’étais presque crédible jusque là :S Les artistes osnt des êtres humains oui, mais c’est comme pour tout, y a de bons êtres humains, et de mauvais. Y en a qui réussissent et y a des ratés. Ben eux c’est des ratés, c’est malheureux mais c’est comme ça. je suis pas du genre à tirer sur les ambulances, y en a qui n’y peuvent rien. Mais quand on fait la démarche volontaire d’aller présenter le fruit de son travail au public en prétendant être artiste, on s’expose à la critique, c’est comme ça. Fatigue ? J’en doute pour ce que j’en ai vu ailleurs. Mais quand bien même, rien à faire : les autres artistes de cette JE aussi étaient fatigués, et ont tous au moins assuré. Un artiste est jugé à sa performance le jour J, c’est comme ça, chaque métier a ses pressions, ses impératifs et ses lois. La performance d’Anli Pullicino ce jour là était techniquement catastrophique et artistiquement abominable. Et c’est là sans aucun doute le constat le plus objectif de tout mon live report.
Je fais partie du public, j’estime être autant en droit qu’un autre de juger. Pour le reste, la fosse enthousiaste lors du concert d’Anli s’est limitée aux trois premiers rangs tout au plus. Je le sais, parce que j’ai justement soigneusement observé le public, moi. Les fans eux, ont-ils pris le temps de quitter une seconde leur idol des yeux pour regarder ce qui se passait ne serait-ce que 2 rangs derrière ? J’ai fait quasiment tous les concerts des 3 premiers jours, c’était de loin celui où il y avait le moins d’adhésion de la part du public. Les « journalistes » comme je l’ai dit mille fois étaient tous horrifiés. Et même le staff français d’Anli Pullicino reconnaît à demi-mot que la prestation du groupe était mauvaise et qu’elle a fortement déplu. Je suis sincèrement désolé que ce constat blesse les fans qui forcément prennent un petit coup à leur égo et refusent d’abandonner leurs poulains dans la tourmente, mais c’est ainsi, là encore, la dure loi de la scène.
Non ce n’est pas un travail, je ne suis pas payé, je fais ça pour moi, mon plaisir, et celui des gens qui aiment me lire. Point.
Et je ne crache pas sur JE, je sais le travail énorme et parfois ingrat que ça représente, je dis juste que tout ce qu’il y a autour de ce festival m’épuise, et je crache par ailleurs sur un groupe dénué de tout talent qui a livré un concert plus qu’archi-mauvais. Merci de ne pas me faire dire ce que je n’ai pas dit.
Je comprends sur le principe c’est la forme qui est casse pied.
Je suis totalement pour la liberté d’expression, mais entre dire prestation mauvaise ,voix pas en place et manque de justesse et gros débile crétins.. le propos diffère et sonne pas pareille. Nous sommes d’accord sur le fait que chaque artitse n’est pas à l’abri de la contre performance je prendrai pour exemple Amy Whinehouse (paix à son âme) Ses derniers shows étaient plus que mauvais mais ça n’enlève rien au fait que ce soit une artiste de talent.
Je suis dans le milieu depuis aussi longtemps que toi, je suppose donc que nous sommes de la même génération. Et c’est parce que je ne sais que trop bien comment ça a été difficile d’en arriver a voir des artistes J-Music sur scène en europe que verser dans le cliché est contre productif. Dans le fait de dire ce sont des imbéciles les gens ne retiendront que l’équation visual=crétins en costume, gay débile etc.. etc… On a déjà suffisamment de détracteur ignorants nourris au clichés qu’il est inutile d’en rajouter selon moi.
Enfin je vais essayer d’être brève effectivement je suis fan d’Anli, Daizzy et les autres je connaissais pas avant le live de J.E. J’ai été véhémente parce que je suis lassé de voir des gens faire des report sur le net toujours dans la même veine il y a des façons de dire que c’est mauvais autre que le simple j’aime pas c’est des cons. Car forcément ça entraîne la polémique in-objective et la guerre de position du moi je sais.
Quand un report trouve un live mauvais je préfère lire, groupe untel,performance décevante public peu ou pas réactif, son désagréable etc.. etc.. plutôt que « le groupe untel c’est des nul parce que j’aime pas comment ils s’habillent » je grossis le trait mais c’est pour expliquer Il faut reconnaître que c’est light comme argumentation non?
Donc on vas briser la spirale de l’insulte je pense que t’as compris ce que les comms te reprochent inutile de charger la mule.
Arf… j’ai fais n’importe quoi avec la balise HTML… en gros au dessus c’est ma réponse, pas une situation. Faut que je pense à enlever mes moufles avant d’écrire. >.
Je peux tout à fait comprendre l’irritation des fans de ce groupe en voyant cet article : ça ne fait jamais plaisir de voir quelque chose qu’on aime se faire descendre aussi violemment. Par contre, je trouve vraiment triste de voir des commentaires du genre « t’as le droit de pas aimer, mais faut pas le dire ». Si quelqu’un rédige un article négatif sur un artiste que vous appréciez, vous pouvez apporter votre point de vue, donner vos propres arguments, mais reprocher à l’auteur de donner son avis, c’est juste n’importe quoi. Il s’exprime sur un espace PERSONNEL et donne SON avis. Rien ne vous empêche de faire la même chose de votre côté.
C’est l’éternel problème de la musique des goûts et couleurs, on peut pas être tous d’accord ce n’est pas tant le fait que le point de vu soit négatif qui est mauvais et que tout le monde prend mal c’est l’insulte. Les gens préfèreront toujours la vanne incisive à l’insulte clairement affiché. Mais bon il fait beau et ce qui est fait est fait. Essayons donc de reprendre notre calme.
Juste pour information, même si je n’avais pas envie de commenter vu le peu d’intérêt que j’ai pour l’article, le chanteur d’Anli Pollicino chantait faux car il était malade. Pourtant, il a fait l’effort de chanter contrairement à une certaine personne qui a fait du playback.
la congénère va tout de même de répondre (en français).
Tout d’abord je trouve ça très bien que ton blog dure depuis autant de temps et tu sois lu par des milliers de personnes mais je me pose des questions sur tes lecteurs tout de même parce que quand on lit en commentaire « les fans d’anli sont des grosses merdes » ça fait plutôt defouloir que blog.
Enfin bref c’est sur ton article et ta réponse à shina où je voulais vraiment rebondir.
Tout d’abord, je suis tout à fait d’accord sur le fait que les groupes s’exposent à la critique en présentant leur travail et que l’on ne peut pas plaire à tout le monde et que tout le monde ne peut pas être parfait. je suis aussi d ‘accord quand tu dis qu’un blog sert à transmettre ce que l’on aime ou pas. Que tu ais trouvé le groupe mauvais et que le public ne s’amusait pas je respecte aussi tout comme moi je trouve man with a mission inintéressant au possible. D’ailleurs, j’avoue moi-même que leur prestation n’était pas l’une des meilleures ils sont beaucoup plus performants dans des petites salles .
Seulement là où le bas blesse c’est que tu confonds critique et insultes. « groupe de poulets décérébrés » je ne vois absolument pas ce qu’il y a de constructif dans cette expression. (non parce que tu parles de français donc j’en profite) je pensais que critiquer voulait dire « discerner la valeur des choses » en l’occurrence tu aurais pu écrire : « la prestations du groupe était abominable »(comme dans ta réponse à shina)puis point et passer à autre chose au lieu de les insulter ce que par ailleurs tu as très bien fait.
Maintenant si effectivement c’est ton plaisir il n’y a aucune raison d’arrêter!! c’est juste triste que le plaisir des gens maintenant soit d’insulter et de cracher sur les autres(et là je ne parle pas que pour toi)
Et une dernière chose sur la critique au japon, ok il y a une question d’argent comme tu l’as souligné, mais malgré tout, les japonais sont un peuple respectueux qui ne se permettrait jamais d’écrire de telles chose. je ne te connais pas donc je ne sais pas ce que tu connais du Japon )en ce qui me concerne,je sais de quoi je parle. Mais si tu aimes un temps soit peu cette culture, je pense pas que ta façon de faire soit en accord avec leur savoir vivre.
mais encore une fois si cela te procure du plaisir je n’y voie aucun inconvénient et mon égo n’en absolument pris un coup!
excuse moi je me suis trompée je voulais bien sûr dire que mon égo n’en avait absolument pas pris un coup.
et YEON tu as raison le chanteur était malade ce week end là cela c’est vu à la dédicace.
Les soit disant blogueur de nos jours pensent qu’ils peuvent dire ce qu’ils veulent sous pretexte qu’ils tiennent un blog! Ne pas aimer un groupe de visual est une chose mais le dessendre comme ça en est une autre et insulter les fans d anli dont je fait parti je trouve cela simplement digne d’une cour de maternelle et encore…! Tu te crois blogueur moi je pense plus que tu te sent fort derrière ton petit ordinateur ou tu doit passer le plus clair de ton temps alors que tu devrait peut etre un peu sortir de chez toi et voir qu il n y a pas que ta petite personne et ton blog qui existe mais aussi des fans et des groupes qui font passer dans leur musique tout leur coeur et les insulter de la sorte je ne voi pas ce que ca peut t apporter a part peut etre le sentiment d etre fort… Regarde toi un peu dans la glace et essaye d etre aussi doué qu anli et on en reparlera!!
Et pas un mot sur les prestations de Prof Sakamoto, ni de Virgo aka Hammer ? Ce serait bien de préciser quelque part que ces artistes étaient également sur scène, surtout que leurs performances ne déméritaient pas, loin de là. Pas très complet tout ça. Quant à la partie sur Anli Pollicino : emploi d’un vocabulaire outrancier afin de générer des visites et des réactions, tout ça pour accroitre les stats, rien de nouveau sous le soleil ici-bas.
Sans vouloir en remettre une couche, la plupart des journalistes ou amateurs, crédibles ayant de sites ou blogs depuis des années… Ont tous reconnu unanimement que cette performance était un naufrage technique et asiatique…
Evitez de parler de complot anti visual. En plus la comparaison avec les autres fut terrible. Mis à part Kyary Pamyu Pamyu hors genre, les groupes invité (qu’on aime ou pas) on produit un travail relativement professionnel et de qualité. Autant des vieux artistes comme Flow (que je n’ai pas aimé) ou Iwao Junko, que les jeunes groupes comme Hemenway ou MAN WITH A MISSION.
Bref ce groupe a été très mauvais sur ce concert et n’apporte rien en valeur ajouté par rapport aux milliers de groupe de visu depuis les années 90.
je suis d accord avec toi la critique que tu viens de faire est très juste seulement traiter leurs fans de « grosses merdes » comme tu l’as fait au début montre que toi aussi tu ne vaux pas plus que ça toi non plus.